Livre ouvert avec un poème en français sur les liens fraternels et la nature, sur fond gris clair.
Une photo de deux personnes dans un bain gonflable dans un jardin, une femme debout et un homme assis, portant des brassards de nage, devant des arbres dénudés.
Deux enfants mangent des pâtes assis à une table en extérieur, avec un environnement urbain en arrière-plan.
Un magazine ouvert montrant deux pages avec des photos, une avec trois personnes dans un bain, l'autre avec cinq personnes assises à une table, en salle de style classique.
Un livre ouvert avec une page de titre et une autre avec un poème ou un texte, posé sur une surface grise.
Un livre ouvert montrant une page avec du texte en français et une photographie en noir et blanc d'une femme assise à l'extérieur.
Photo en noir et blanc d'une personne jouant dans un parc ou un jardin entouré d'arbres et de végétation, avec une lucarne de soleil traversant la végétation.
Un album photo ouvert montrant deux pages avec des images en noir et blanc, une d'une jeune fille avec des cheveux bouclés dans une pièce, et l'autre d'un chemin rural avec des arbres et des buissons.
Page ouverte d'un livre avec le texte en français. Sur la page gauche, il y a une citation en blanc sur un fond bleu, et sur la page droite, un texte en majuscules en violet sur fond blanc.
revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.
revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.
revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.
revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.
EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.
EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.
EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.
EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.
EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.
revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.
revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.
revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.
revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.
EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.
EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.
EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.